Stéroïdes anabolisants : la recherche du corps parfait aux effets dévastateurs
Ils sont surtout employés en médecine vétérinaire pour augmenter le poids des animaux d’élevage. Ils sont rarement prescrits chez l’homme, seulement parfois pour traiter un retard de puberté, certains types d’impuissance et l’amaigrissement aggravé. Ce qui se passe avec la consommation de stéroïdes anabolisants, c’est que la production de SHBG est augmentée.
- Ils sont rarement prescrits chez l’homme, seulement parfois pour traiter un retard de puberté, certains types d’impuissance et l’amaigrissement aggravé.
- En résumé, il s’injecte des molécules que l’organisme produit déjà ou bien des molécules que l’organisme ne produit pas.
- Les stéroïdes anabolisants sont généralement administrés par voie orale ou parentérale (par piqûre) mais certains stéroïdes anabolisants peuvent également être administrés par voie transdermique (par la peau).
- Cependant, les effets secondaires toujours très dangereux chez la personne consommant des stéroïdes (même dans un but médical), font que l’utilisation est très réglementée et uniquement dans certains cas très précis.
L’action des SAA sur les opioïdes semble scientifiquement solide, toutefois le mécanisme exact reste à préciser. Provoquant un déséquilibre hormonal, la prise de stéroïdes fait apparaitre de l’acné (sur le dos, le visage…). Les stéroïdes anabolisants sont classés comme dopants par l’Agence Mondiale antidopage, par les instances sportives françaises et le Comité Olympique. Les stéroïdes anabolisants sont interdits par toutes les grandes organisations sportives notamment par le Comité Olympique et sont classés comme dopants par l’Agence Mondiale antidopage ainsi que par les instances sportives françaises.
Effets indésirables
Ici, l’équipe étudie par IRM le cerveau de 130 hommes, pratiquant l’haltérophilie, ayant des antécédents d’utilisation prolongée d’AAS et de 99 participants témoins, pratiquant également l’haltérophilie mais n’ayant jamais utilisé d’anabolisants. Un âge biologique avancé du cerveau est associé à une réduction des performances cognitives et à un risque accru de maladies neurodégénératives. « Souvent les utilisateurs sont renseignés par quelqu’un dans les salles de sport qu’ils fréquentent. En général, ils font des cures de 8 à 10 semaines pendant lesquelles ils prennent leurs stéroïdes puis celles-ci s’allongent petit à petit dans le temps » explique Thomas Gonzales.
- En dehors du monde sportif, les stéroïdes sont souvent utilisés par des individus à des fins non médicales dans le but d’augmenter leur performance et d’améliorer leur apparence physique (muscles mieux sculptés, plus gros, etc…).
- D’autres effets secondaires peuvent inclure des modifications dans la structure du cœur, comme l’élargissement et l’épaississement du ventricule gauche, qui porte atteinte à sa contraction et sa relaxation.
- Un autre effet secondaire majeur sur le long terme de la prise de stéroïdes anabolisants est la réduction de la fertilité ; ceci confirme les études antérieures.
- Mais le Clenbuterol n’est pas simplement utilisé pour ses effets oxygénant, il permet aussi de perdre du poids en période de sèche tout en préservant les tissus musculaires grâce à son effet anti-catabolique et son effet brûle graisse.
Les stéroïdes sont en effet plus efficaces avec des prises massives de protéines, qui sont des grosses molécules, et exigent donc un travail énorme pour le rein pour gérer les molécules, et les catalyser. Il ne faut pas oublier que les stéroïdes anabolisants sont des synthèses chimiques de la testostérone. C’est-à-dire qu’elle joue un rôle clé dans le fonctionnement «sexuel » de l’Homme. Elle définit également les caractéristiques masculines et féminines d’une personne.
#6 Je ne risque rien
Ces hormones qui permettent d’améliorer les performances et d’augmenter la masse musculaire peuvent pourtant entraîner des effets indésirables sévères et multiples pour la santé. Cette étude L’Université publique de Saint-Pétersbourg, présentée lors de la réunion annuelle de la Société européenne d’endocrinologie, ECE 2019, alerte https://fr-steroides.com/ contre ces effets parfois mortels de ces stéroïdes. Leur utilisation soulève en effet de sérieuses préoccupations non seulement pour la santé des hommes qui les prennent, mais aussi pour celle des générations futures. Chez les femmes, leurs effets secondaires sont immédiats, il s’agit de signe de masculinisation et virilisation.
Beaucoup d’utilisateurs de stéroïdes pensent le contraire, mais la désillusion sera grande. Car aucun anabolisant ne modifiera la forme de vos muscles, le point d’attache de vos tendons et encore moins l’équilibre des masses osseuses (tout ce qui constitue la «ligne»). De plus, la masse musculaire acquise avec les stéroïdes disparaitra aussi vite qu’elle est venue dès l’arrêt de la cure. Seule l’hormone de croissance permet de conserver une partie du volume musculaire acquis.
Nous savons également (même si la recherche est limitée dans ce domaine et qu’elle n’est donc pas définitive) que la nandrolone, un stéroïde anabolisant très populaire, endommage probablement les cellules endothéliales des vaisseaux sanguins. Les effets indésirables liés aux oestrogènes sont généralement traités à l’aide de médicaments anti-oestrogènes. Comme je l’ai mentionné plus haut, l’utilisation tels médicaments constitue une intrusion supplémentaire dans l’axe hormonal HPT et peut entraîner bien d’autres effets indésirables. L’inhibition de la testostérone entraîne une réduction de la taille des testicules, une perte de libido, des sautes d’humeur et d’autres symptômes associés à de faibles niveaux de testostérone.
Pourquoi les stéroïdes oraux sont-ils plus dangereux ?
Contrairement aux effets recherchés, le sportif peut voir apparaître également des douleurs articulaires et une diminution de l’élasticité des tendons et ainsi des blessures. Pour les deux sexes, il va y avoir des effets indésirables rapides dont certains peuvent être à terme irréversibles. L’incohérence entre la musculature imposante de l’utilisateur de stéroïdes et les faibles charges qu’il soulève, qu’il porte ou qu’il tire lorsqu’il s’entraine. Les utilisateurs de stéroïdes ont souvent un gros ventre même si les abdos sont apparents.
Dopage : les stéroïdes anabolisants altèrent aussi le cerveau
En effet, comme les stéroïdes anabolisants viennent supplémenter voire dépasser significativement la production de testostérone, les testicules ne s’embêtent plus à produire de la testostérone. La perte des cheveux et l’impuissance/baisse de la libido sont des effets secondaires des stéroïdes très fréquents. Ils sont habituellement prescrits pour prendre en charge les retards de puberté, certains types d’impuissance ou limiter l’amaigrissement chez les personnes alitées en raison d’une pathologie lourde. Mais depuis de nombreuses années, ils sont aussi utilisés par les sportifs pour augmenter leur masse musculaire.
Dans le monde du sport à haut niveau, les stéroïdes anabolisants sont considérés comme des substances dopantes, car ils viennent améliorer les performances physiques, donnant un avantage considérable à celui qui se dope. Il existe trop de variables différentes pour répondre à la question “quel est le meilleur stéroïde anabolisant”. Il faut prendre en compte des facteurs comme les objectifs à atteindre, le risque des effets secondaires, ou encore la qualité du produit.
“Dans l’ensemble, près d’un utilisateur de stéroïdes sur quatre dans notre étude avait une dépendance modérée à sévère aux stéroïdes”, complète Kyle T. Ganson. Les stéroïdes anabolisants sont normalement utilisés dans des buts médicaux spécifiques, comme le maintien de la masse musculaire chez des personnes alitées. Depuis de nombreuses années, ils sont plébiscités par des sportifs, parfois jeunes, pour augmenter leur masse musculaire. Pourtant, cette utilisation peut être dangereuse, comme l’expliquent les auteurs d’une étude récente, parue dans Performance Enhancement & Health.
Enfin, des résultats préoccupants pour les sportifs qui utilisent ces stéroïdes depuis longtemps. Le point de vue du malade Le covid long a transformé la vie de ce sportif de 44 ans, jusqu’alors en bonne santé. Comme leur nom l’indique, ces stéroïdes androgènes-anabolisants ont deux effets différents, mais qui se chevauchent.